Je voulais vous en parler depuis déjà plusieurs semaines, mais je
me suis (encore) laissé embarqué dans des virées nocturnes
interminables qui ont transformé mes journées en nuits. Voici donc
mon papier à retardement, comme un doigt d'honneur tendu à
l'infobésité (Word connaît pas mais si si, ça existe) et
l'instantanéité de la presse poubelle 2.0. Pondre pour pondre, non.
Pondre quand tous les étoiles sont alignées et les grands albums de retour, oui.
Si j'ai décidé de perdre de mon temps de vie (si précieux) pour
vous parler de Ratatat et de Christopher Owens, c'est qu'il y a une
raison. Vous savez plus quoi choisir face à cette masse de
nouveaux sons qui s'écroulent sur vous en permanence ? Je me charge de ne retenir que le meilleur, capitaine. Premier épisode de cette remise de médailles pop : RATATAT.
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