lundi 19 octobre 2015

Pizza, musique et hasard





Après avoir taillé le bout de gras avec un clochard fan' de Grateful Dead dans les arcanes du métro parisien, voici la suite de mes pérégrinations hasardeuses à Paname.

Parce qu'il n'y a pas que Soundcloud, les communiqués de presse ou les potes pour découvrir des nouveaux (bons) sons. Il y aussi la pizza. Une histoire racontée à la première personne.

mardi 13 octobre 2015

Des trucs cool rien que pour vous


Je voulais vous en parler depuis déjà plusieurs semaines, mais je me suis (encore) laissé embarqué dans des virées nocturnes interminables qui ont transformé mes journées en nuits. Voici donc mon papier à retardement, comme un doigt d'honneur tendu à l'infobésité (Word connaît pas mais si si, ça existe) et l'instantanéité de la presse poubelle 2.0. Pondre pour pondre, non. Pondre quand tous les étoiles sont alignées et les grands albums de retour, oui.


Si j'ai décidé de perdre de mon temps de vie (si précieux) pour vous parler de Ratatat et de Christopher Owens, c'est qu'il y a une raison. Vous savez plus quoi choisir face à cette masse de nouveaux sons qui s'écroulent sur vous en permanence ? Je me charge de ne retenir que le meilleur, capitaine. Premier épisode de cette remise de médailles pop : RATATAT.

jeudi 9 juillet 2015

Le triomphe des soeurs Soderbergh





Depuis le temps que voulais écrire un papier sur First Aid Kit.. C'est chose faite avec ce long reportage sur le concert qu'elle ont donné à la fin du mois de juillet au Cabaret Sauvage, à Paris. Plus qu'un concert, cette soirée était une mise en abyme du triomphe des soeurs Soderbergh. Mon hommage personnel.

mardi 7 juillet 2015

RIP FARGO RECORDS SHOP






Fin avril, je causais avec le jeune et fringuant JR de chez Fargo Records, pour continuer ma petite exploration des "invisibles de la musique", qui se cassent le cul au quotidien pour servir ce grand art populaire et fédérateur qu'est la musique. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts, et le magasin de mettre la clé sous la porte. Une interview en forme d'hommage à un objet culte en voie de disparition : le disque. Rec.

mercredi 27 mai 2015

C'est pas moi qui le dit, c'est la rue

Je me souviens : parole à la rue


Il arrive que des gens vous parlent dans le métro. Et vous
racontent leur jeunesse punk (ou pas)


Le métro occasionne parfois des rencontres
légendaires (Donoma, 2012)
Samedi, 16h. Dans le métro, ligne 7, en route pour l'université. Dehors, il fait un temps de chien, le ciel déployant ses 50 nuances de gris sans pitié aucune. A l'intérieur de la rame, les nuances de gris s'étalent tout autant sur les visages, dans cet entre-deux inutile qu'est le milieu d'après-midi. Un idéaliste résiste à cette invasion de mélancolie, et ce n'est pas celui que vous croyez..
Alors que je dévore un livre sur le punk pour un travail universitaire, un vieux clochard s'assoit à côté de moi, une cannette de bière à la main. Manifestement intéressé par le contenu de cet objet quadri-dimensionnel, il entame derechef la discute : « Les Ramones.. trop commercial..», avant d'aborder le cas épineux McLaren, inventeur/récupérateur proclamé du punk : « le punk, c'était un coup de Malcolm Mc Laren.. Tout ça n'est pas arrivé par hasard, quoi qu'on en dise. Il savait très bien ce qu'il faisait ». Je tourne la page, son regard s'illumine : « Siouxie and The Banshees ! Ca, c'était vraiment bon..Du vrai punk ! ». Comme quoi, on peut en apprendre autant en écoutant un vieux clodo qu'en lisant Greil Marcus.

Malgré une apparence d'aucuns jugeraient repoussante, les clodos
ont un tas de trucs à nous raconter.
A entendre la passion dans sa voix, et au regard de son look de vieux punk sans concession, qui a fini dans la rue, je lui demande, animé d'une vive curiosité : « T'étais où en 76-77 ? A Londres ? ».
Malgré des trous de mémoires évidents, rapport à l'alcool mais aussi tout simplement à son âge avancé, le vieux briscard creuse alors la boite à souvenirs: « Ouais, j'étais à Londres ! Comme c'était la mode, j'ai vécu un peu comme un punk. Le look, les concerts et la dope, mais c'était pas mon truc.. ». Surpris, je lui rétorque : « Ah ouais ? C'était quoi ton truc ? ». Il m'explique : « j'ai toujours été plus tourné vers le psyché.. Jefferson Airplane, Grateful Dead.. ». Le genre musical que les punks conchiaient ouvertement.. Pas rassasié, je veux en savoir plus : « Ah cool ! Tu les as vu en concert ? ». Dans son élément, le regard extatique, il se rappelle : « Ouais, 3 fois même ! Je me souviens d'un concert mémorable en Allemagne.. ».
Plus fort que le Punk : le DEAD
Alors qu'il reprend une gorgée de bière premier prix, je continue mon petit interrogatoire : « A Berlin ? Hambourg ? ». Il hoche la tête : « Non, non.. Hum.. ». J'essaye alors de l'aider : « dans le sud ? ». Bingo, l'intéressé jubile : « ouais ! C'était en Bavière, vers Munich.. ». Censier-Daubenton : l'heure pour moi de saluer mon ami de passage : « c'était cool ! A bientôt sur la ligne 7 ! ». Alors que je sors de la rame, je l'entend entonner un titre culte du Dead : « Such a Box of Rain ! », pendant que ses voisins se vident la tête en jouant à Candy Crush. Comme disait l'autre, il en faut peu pour être heureux.


Box Of Rain, Grateful Dead


dimanche 3 mai 2015

Jacco Gardner : le Live

CP: Laura Haddad
Comme vous ne le savez peut-être pas, Jacco Gardner était en concert à Paname fin avril. Comment s'est débrouillé le petit prodige psychédélique, qui avouait durant notre entrevue avoir connu des débuts scéniques pour le moins difficiles?
Après la soirée et l'interview, le live! Et ce n'est peut-être pas la dernière fois que je vous bassine avec lui, comme la sortie officielle du nouvel album.. c'est demain!

Reportage nourri des photos de ma photographe attitrée : Mademoiselle Laura Haddad (Merci Laura, bisous)

mardi 28 avril 2015

Jacco Gardner : l'interview

De passage à Paris durant une très courte unité de temps, Jacco Gardner a trié sur le volet les canards qui lui ont demandé des interviews. Le Nouvel Obs', Les Inrocks et..Le Blog qui s'écoute, bien entendu. Autour d'une bonne bière, il nous explique, entre autres sujets de premier importance, de quoi parle son nouvel album. L'hypnophobie, vous connaissez-vous ?

C'est par ici.

Amusez-vous, la vie est courte!


jeudi 23 avril 2015

Jeudi : le retour du JEDI

GONZAI
Salut les copains,

Quelque temps que je n'ai pas noirci les colonnes de ce blog. Pendant ce temps, je ne me suis pas tourné les pouces. En dehors des traditionnelles beuveries jusqu'au petit matin, ponctuées d'extases cannabiques et de rencontres surréalistes toujours plus nombreuses, j'ai publié chez Gonzai, tel un bon JEDI gonzo. Et ouais.

Si t'as pas encore lu mon report gonzo sur la soirée que j'ai passé avec Jacco Gardner : http://gonzai.com/une-soiree-avec-jacco-gardner-un-mec-comme-toi-et-moi/. Tu vas rire tout en apprenant des choses sur un mec qui est une des meilleures choses qui soit arrivé à la musique ces dernières années : vas-y !

On ferme la parenthèse. Jeudi, j'ai vu Bloum en concert au Badaboum. Tu te souviens, le collectif électro-pop que je t'ai fait découvrir en mars ? Du très très bon son. Et en live, ça donne quoi ? Pour le savoir, il ne te reste plus qu'à lire mon reportage, qui parle de (bonne) musique, mais aussi de rencontres et d'une mystérieuse fille aux yeux bleus translucides. Alice.

Des bises et amusez-vous. La vie est courte.

mercredi 18 mars 2015

Le hasard fait parfois bien les choses


Il faut que je vous parle d'un truc, absolument. Vous allez pas me croire mais j'ai découvert un collectif électro-pop absolument génial. C'était à la fin du mois dernier, alors que je me baladais du côté du canal st-martin avec des potes. Précisément au Point-éphémère, où je suis tombé sur un album à la pochette mystérieuse. Une heureuse histoire de hasard et de (très) bonne musique. En page Mélomania.

Ecoutez, vous allez décoller.


Bises.

mardi 10 mars 2015

La musique électronique pour les nuls (comme moi)

Après plusieurs articles postés sur Super 8 radio.com, dont une interview fleuve du chanteur AV, passionnante, que je vous invite à lire, me voici de retour à la maison. Je vous ai manqué, hein.

Passionné de musique électronique depuis plusieurs années, et client occasionnel du très pointu Rex Club où je me dandine sans me forcer durant des heures, je ne sais en revanche absolument rien de ses méthodes de production. Et je ne suis pas le seul. Encore beaucoup de gens font la confusion entre Live-set et Dj-set, des termes qu'on retrouve de plus en plus sur les affiches de nos villes.

Pour percer ce mystère, je suis allé fumer un joint avec un jeune Dj parisien, qui lève le voile sur ces obscures anglicismes. C'est l'heure d'un petit éclairage, en page Mélomania.

mardi 10 février 2015

Micah P. Hinson and The Nothing : Country 5 étoiles

Ce dont il est question
Oh honte sur moi qui suis passé à côté d'un album majeur de la country contemporaine, celui de Micah P. Hinson, modestement titré Micah P. Hinson And The Nothing, publié fin 2013. Un disque qui sort à une époque encore douce et insouciante, qui n'a pas connu les attentats de Charlie, sur un excellent label indépendant du sud-ouest français, Talitres, qui s'échine depuis 2001 à faire émerger des musiciens de qualité en mal de notoriété. Les Bordelais ont déjà déniché, entre autres pépites, François And The Atlas Mountains, Ewert And The Two Dragons, The Wedding Present ou encore Motorama, pour les plus fameux.
Ouvert sur l'international, le label prête ici son rayonnement à un crooner country américain relativement reconnu chez lui mais encore peu médiatisé en France. Un bel exemple de collaboration franco-américaine, comme à la grande époque. Et ce pour la bonne cause : l'album est un vrai bijou.


Sauvé par le père noël et surtout par ma mère qui a déposé ce petit objet quadri-dimensionnel au pied du sapin, j'ai découvert ce grand disque, un an après. Qu'importe, le voilà maintenant qui fait vibrer les murs de mon réduit, jour et nuit.

Ne connaissant rien de ce trentenaire texan, je me fie au macaron sur la pochette qui annonce une country racée et renouvelée, dans la lignée des plus grands. Curieux, je lance alors la première piste, How Are You Just A Dream, et là, c'est l'incompréhension : guitares sifflantes, pulsation énervée et chanteur qui braille. C'est parfaitement exécuté, mais ça c'est du garage, pas de la country. Est-ce une blague de l'éditeur ?
Le mystère est résolu dès la suivante, une bonne vieille ballade country à l'ancienne. Il voulais juste se faire plaisir sur l'intro.. On The Way Home (To Abilene), avec son arrangement minimaliste, sa pedal-steel appliquée, son sublime solo de guitare tout en économie, et surtout la voix de Micah P. Hinson, somptueusement déchirée, me scotche littéralement durant 3 minutes. La mélancolie accouche souvent de bonnes chansons, mais alors là, on touche à la perfection. A écouter le soir en rentrant chez soi, après une dure journée de boulot, comme l'a peut-être fait Micah P. Hinson, "on the way home to Abilene", le petite bourgade du Texas où il a écrit ce disque.

L'ami Micah P. Hinson
Sur The One To Save You Now, Hinson se mue en véritable crooner country, simplement accompagné d'un piano, et poussant sa voix grave et éraillée dans des recoins plus risqués, avec une vraie maîtrise. I Ain't Movin', sur le même ton, prend la forme d'une véritable introspection, supprimant tous les artifices jusqu'à l'os : déchirant et magnifique.
Le reste de l'album alterne entre cette veine lente et mélancolique et d'autres chansons plus enjouées, banjos et guitares en bandoulière, comme The Same Old Shit, qui décrit l'affreuse banalité du quotidien avec une certaine lucidité : "and day after day after day, the same old shit"ou The Life, Living, Death and Dying of Certain And Peculiar LJ Nichols, morceau en forme de portrait au titre à rallonge qui renferme un jeu de pedal-steel plutôt jouissif. Quant à la référence à Johnny Cash lue sur le macaron, elle intervient de la façon la plus explicite sur Love, Wait For Me, somptueuse ballade où il mimétise de façon troublante le chant du maître. Plutôt fidèle à son pays, il inonde ses chansons de références à la religion, de façon évidente sur Good is God, et aussi de façon implicite dans certaines mélodies, qui rappellent des chants chrétiens.

Santander, record's place.
Pour la petite histoire, ces morceaux ont fait un petit tour du monde avant d'arriver jusqu'à nos oreilles. Écrites donc au Texas entre Abilene et Austin, publiées sur un label bordelais, elles ont été enregistrées en Espagne, dans un studio de Santander. Un périple ibère non sans incident pour Hinson, qui a eu un grave accident de voiture sur la route entre la Catalogne et les Asturies. Il s'en est tiré mais a gardé de sales blessures. Peut-être une explication à la beauté violente et tragique qui infuse une bonne partie de ce grand disque de country contemporaine. Micah, l'éclopé magnifique.

On the Way Home (To Abilene)
Country écorchée






dimanche 1 février 2015

Festival Air d'Islande : j'y étais

Air d'Islande #1 : une soirée qui manque de souffle

La première du festival de découvertes scandinaves n'a
pas tenu son rang

Mélomane curieux et grand amateur de musique nordique, qui nous a gâté ces dernières années avec First Aid Kit, Sigur Ros, Agnes Obel et autres FM Belfast, j'ai pris mes billets sans hésitation pour le festival "Air d'Islande", événement transdisciplinaire organisé par le collectif éponyme qui oeuvre depuis 2007 à la promotion de la culture islandaise, et dont la face musicale prenait ses quartiers au Point-Éphémère le temps de trois soirées de défrichage. Avec la promesse de découvrir ce qui se fait de mieux en ce moment au sein de la nouvelle génération indé, pop et rock scandinave. Une bien belle initiative pour combler les oreilles curieuses, et qui tombe à pic en cette fin de mois de janvier glaciale.

Kaelan Mikla : la forme sans le fond
Après une bonne pinte descendue dans la fraîcheur nocturne des berges du canal st-martin, on se réfugie à l'intérieur, avec un pote, prêt à gaver nos oreilles de nouveautés de qualité. La salle n'est qu'à moitié remplie, ce qui n'empêche pas les islandaises de Kaelan Mikla (ci-contre) d'envoyer la sauce. Premières à entrer en scène, les trois jeunes femmes nous cueillent à froid avec un punk-rock désossé et noir. Seules une bassiste et une batteuse accompagnent une chanteuse qui hurle des vers de poésie en islandais tout en se roulant par terre. Dans le même temps, la bassiste pousse des cris sans paroles, ce qui finit de plonger la salle dans une certaine angoisse. Artistiquement intéressant mais on ne comprend absolument rien aux textes, évidemment, et il manque quand même quelque chose. " Des performances live débridées", selon le site d'Air d'Islande : certes, mais la présence sur scène ne fait pas tout. "Des gamines en pleine crise d'adolescence", me souffle un ami pour résumer la choses. Soit.

Darkness Falls : classe et mystère
Dans ce petit tour du nord en musique, c'est ensuite au Danemark de prendre le relai, avec le duo Darkness Falls, formé en 2009. Deux jolies nanas, une brune aux machines et au chant et une blonde à la guitare, accompagnées par un mec à la batterie, et de loin le moment le plus plaisant du concert. Entremêlant les nappes de synthé et les guitares saturées d'effet légèrement planants, sur lesquels vient se lover la voix belle et puissante de la chanteuse, ils produisent une pop teintée d'électro assez agréable, entre certains morceaux assez groovy et rentre-dedans et d'autres beaucoup plus pop. Plutôt à l'aise sur scène, surtout la meneuse, et toutes d'eux fringuées avec des sapes éclatantes et 
multicolores, qui reflètent les variations de lumière, dans un esprit définitivement très pop. On danse et on rêve (un peu) durant 45 minutes. Un groupe à suivre, dont le premier album va être produit par le très demandé producteur danois Trentemoller, qui a manifestement eu du flair.

Neov : une pop sans intérêt
Cette première soirée du festival s'achève avec la prestation des finlandais de Neov. Le groupe le moins féminin du soir, avec 5 mecs qui se partagent 2 guitares, une batterie, une basse et une trompette. Influencés par les années 90 en terme de musique et par les grands lacs qui cernent leur village d'origine pour les textes, le groupe m'emmerde royalement pendant près d'une heure, entre imitation mollassonne de brit-pop anglaise 90's et sous Fleet-Foxes, pour ce côté harmonies/trompettes malheureusement peu efficient ici. Pour couronner le tout le chanteur a vraiment une voix affreusement banale, lisse et sans trop d'émotions. C'est la même chose pour leur musique en général, ça manque cruellement de vitalité, et de cohérence. En plus, leur live manque d'énergie. Non, franchement, ne perdez pas votre temps à écouter ces finlandais peu inspirés. Généralement on garde le meilleur pour la fin, mais alors là...


En fin de compte, cette première soirée du festival Air d'Islande est assez décevante. Je m'attendais à être embarqué par au moins un groupe. En l'état, vraiment rien de transcendant. Deux groupes assez faibles et un trio intéressant, Darkness Falls, mais qui ne soulève pas non plus de montagnes de créativité. Aucune mélodie ne m'est restée en tête, c'est dire. 
Une clôture en beauté : Mammut, héros islandais
Je n'ai pas assisté aux deux soirées suivantes, mais j'ai cru comprendre qu'elles étaient de meilleure facture, avec notamment le groupe Mammut qui jouait hier soir en clôture. Après 2 premiers efforts convaincants sortis en 2003 et 2008, ces rockeurs islandais ont conquis le public en 2013 avec un 3e album au nom imprononçable : Komdu til miin svarta systir.











Darkness Falls






Air d'Islande #1 : j'y étais

Quand j'ai eu vent de l'existence du festival Air d'Islande, organisé par le collectif éponyme qui promeut la culture islandaise et scandinave, avec notamment 3 soirées consacrées à la musique au Point-éphémère, j'ai aussitôt sauté sur l'occasion, me sentant investi de la mission périlleuse qui consiste à vous faire découvrir de nouveaux bons groupes.
Et comme les terres nordiques nous ont gâté ces dernières années en sons de qualité, j'avais grand hâte d'en entendre les dernières nouveautés indie, pop et rock, en live.
Un reportage sur la nouvelle scène nordique en escale à Paris, à retrouver en page Mélomania.

Bises,

Bobb'y

vendredi 23 janvier 2015

Star Horse : dernier épisode



Suite et fin du Grand Entretien en compagnie des shoegazers suédois de Star Horse, avec une troisième partie riche en réflexions et en fous-rires incontrôlés. Fêtes de fin d'année en forme de cuite monumentale oblige, cette dernière partie arrive un peu plus tard que prévu. En même temps, comme toute bonne chose, on a toujours ce réflexe de vouloir faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Parce que ça y est, après celle-ci, c'est fini.. Entre disgressions sur le sens de la vie et considérations plus prosaiques sur leurs villes chéries pour faire la "teuf"', cette ultime volet tente de percer à jour une fois pour toute la psyché de ces jeunes fans de dream-pop. A retrouver en page Mélomania.


Bises,

Bobb'y

mardi 20 janvier 2015

"Wild" : la rédemption par le sauvage

On assiste ces derniers temps au retour en force du film d'aventure sauvage, 7 ans après le succès planétaire du chef-d'oeuvre de Sean Penn "Into The Wild". Tout a commencé cet automne avec la sortie de "Vie Sauvage", la chronique d'un père qui entraîne dans son désir d'une vie marginale ses deux enfants, à la critique partagée. Ce modeste revival continue avec "Wild", sorti en décembre et vu dimanche.
L'histoire d'une jeune femme cassée par la vie et qui trouve un échappatoire parfait sur les chemins du Pacific Crest Trail, qu'elle s'apprête à arpenter sur plus de 1000 kms, à pied. Va-t-elle arriver jusqu'au bout ?
La réponse ici.

Bises et bonne année, au passage !

Bobb'y